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Dans la tradition des Mayas, l’Oiseau-mouche est lié au Soleil noir et au Cinquième Monde.

 

Quand les dieux créèrent toutes les choses de l’univers,  ils se sont rendus compte qu’il manquait quelqu’un pour se charger de porter leurs désirs y leurs pensées par tout dans le monde ; ils ont prit une flèche, très petite, ils ont soufflé sur elle et elle vola ; ensuite elle prit vie et elle se transforma en x ts’unu’um (colibri).

 

Pour les mayas les colibris apportaient les bonnes pensées d’autres hommes. De cette façon, si quelqu’un désir pour toi le bonheur, le colibri prendra cette désir et  l’emmènera vers toi.


Chez les Aztèques, les âmes des guerriers morts redescendent sur terre sous forme de colibris ou de papillons. 


Dans un mythe des Indiens Hopi, le colibri apparaît comme un héros intercesseur qui sauve l’humanité de la famine en intervenant auprès du dieu de la germination et de la croissance.


Pour les Indiens Tukano de Colombie, le colibri ou oiseau-mouche, qui est censé coïter avec les fleurs représente la virilité radieuse.

La léyende du colibri, raconté par Pierre Rabhi

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